
Le texte contraint les entreprises internet à retirer sous 24 heures tout commentaire menaçant la « sécurité nationale ». Ces entreprises, dont les géants américains Facebook ou Google, devront fournir les données des utilisateurs si elles sont réclamées par le gouvernement et ouvrir des bureaux de représentation au Vietnam. La liberté d'information au Vietnam se réduit depuis 2016, estiment les critiques. L'ONG de défense des droits de l'homme Human Rights Watch (HRW) a demandé aux autorités communistes de réviser la nouvelle loi et d'en repousser l'application. Selon ses critiques, la nouvelle loi risque de faire réfléchir à deux fois les start-ups envisageant de s'installer au Vietnam qui souhaite devenir un centre de la fintech en Asie du Sud-Est.
Envoyer une nouvelle à un ami