
Cette fois-ci, les pirates ont trouvé le moyen de placer un morceau de logiciel malveillant, via le système informatique d'Adverline, dans des publicités ciblées qui s'affichent sur des sites marchands en fonction de l'internaute. "Le script qui espionne sait, grâce à des mots-clefs, quand il se trouve sur une page de paiement. Et quand cela arrive, il envoie les informations aux serveurs de Magecart", explique Loïc Guézo. La régie publicitaire assure de son côté que l'impact de l'attaque, qui s'est déroulée du 1er au 4 janvier, a été limité.
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