
Jusqu'ici, la Commission a opté pour une démarche volontaire de la part des plateformes pour éviter les campagnes de désinformation. Elle veut à présent examiner s'il faut passer à des mesures règlementaires. Le sujet de la manipulation sur l'internet sera à l'ordre du jour du prochain sommet des chefs d'État européens dans deux semaines. L'an dernier, l'exécutif européen a conclu un « code de conduite » avec les plateformes sur les publicités électorales en ligne. Mais selon le commissaire, tout cela n'a pas suffi lors de la campagne des élections européennes de fin mai.
Envoyer une nouvelle à un ami