
Byoungwoo Kang et Gerbrand Ceder, chercheurs au MIT, ont trouvé une solution pour pallier ces inconvénients majeurs qui freinent le développement à grande échelle des véhicules électriques, tout en continuant à utiliser le LiFePO4. Ils ont mis au point un revêtement qui dirige les ions et les électrons du lithium vers les cavités minuscules de la matière composant la batterie, accélérant ainsi considérablement le passage du courant entre l'électrode négative (anode) et positive.
Deux sociétés américaines ont acquis le droit d'exploiter cette technologie prometteuse, selon le MIT qui estime que les nouvelles batteries "pourraient être mises sur le marché d'ici deux à trois ans".
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