
Intel a réagit dans un communiqué de quatre pages et a expliqué que la Commission s'est appuyée sur des échanges « émotionnels » et en « ignorant ou minimisant des preuves solides de ce qui s'était réellement passé », citant l'évolution des parts de marché d'AMD comme exemple (8% en 2002 à 22% en 2007).
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