
«Les gens veulent bien faire confiance à la technologie, à condition de savoir qui se cache derrière», veut savoir Neelie Kroes, aujourd'hui membre de l'Institut de Open Data, après avoir été pendant des années la Commissaire européenne en charge des questions numériques. On s'inquiète aussi beaucoup à Davos de l'accumulation par les géants d'internet de gigantesques masses de données personnelles. De la même façon, le regard porté sur les réseaux sociaux et les moteurs de recherche évolue, mais c'est sans doute l'intelligence artificielle et la capacité des machines à interagir avec l'être humain qui suscite les plus grandes suspicions.
