
«Lors des premières réunions que nous avons eues avec Facebook, je ne pensais pas qu'ils prenaient cela au sérieux. J'espère qu'ils se sont maintenant réveillés», a déclaré Zeid Ra'ad Al Hussein, dont le mandat s'achève fin août. «Ils doivent être prudents car s'il devait y avoir des procès pour les personnes accusées des pires crimes, nous avons vu dans la jurisprudence du passé que si vous avez (...) été complice, et je ne dis pas que Facebook l'a été, ils pourraient bien être cités à comparaître devant un tribunal», a-t-il ajouté. «Il pourrait y avoir d'autres situations où Facebook est le média dominant dans un pays où l'on constate une détérioration de la situation des droits de l'Homme et où son rôle serait remis en question», a-t-il encore ajouté.
