
Des géants comme Google et Facebook accusent le texte de les rendre vulnérables aux pirates, tandis que les défenseurs des libertés civiles dénoncent des menaces contre la vie privée. Canberra pourra contraindre les entreprises du secteur à lever leurs protections technologiques, masquer les opérations secrètes des forces de police et aider ces dernières à accéder aux données des smartphones et aux messageries. Les entreprises s'exposeraient à des amendes de plusieurs millions de dollars en cas de refus d'accéder aux demandes des enquêteurs, avait expliqué le gouvernement en août. Elles pourraient cependant contester en justice les requêtes des investigateurs.
