
Facebook dit avoir transmis ces données pour aider ses abonnés à avoir accès à des outils ou des plates-formes développés par d’autres sociétés, appelées “partenaires d’intégration”, comme Apple, Amazon, Blackberry ou Yahoo. Facebook a reconnu que ces “partenaires” avaient eu accès à des messages privés. Il affirme cependant que ses utilisateurs avaient “dû au préalable explicitement donner leur accord sur Facebook”. Le réseau social a ajouté avoir mis fin à la plupart de ces partenariats ces derniers mois, à l’exception de ceux conclus avec Apple et Amazon.
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