
Grâce à une caméra placée au niveau de la tête, « le robot pourra reconnaître les expressions des gens et réagir en conséquence. Quand son interlocuteur prendra congé par exemple, il aura l'air triste », explique-t-il. Au cours de la démonstration, son regard s'emplissait ainsi d'étoiles ou de coeurs. Plus utile peut-être, le FSR (Field support robot), sorte de petit chariot noir sur roues. Doté de fonctions autonomes, il pourra épauler le personnel, le suivre tout en évitant les obstacles, récupérer et transporter javelots, disques ou marteaux lors des épreuves d'athlétisme... à condition toutefois que quelqu'un les ramasse et les lui donne. Son objectif, explique Toyota : » faire gagner du temps et réduire la main-d'oeuvre « dans un Japon en manque de bras. Enfin, pour ceux qui ne pourront pas venir aux jeux, un autre robot au nom barbare, le T-TR1 (Remote location communication robot), projettera en grandeur réelle, tel un Skype géant mobile, l'image de l'utilisateur distant, tout en suivant un humain à une vitesse de 6 km/h pour faire découvrir les lieux à cet interlocuteur.
Envoyer une nouvelle à un ami