
Le conglomérat japonais avait annoncé en décembre qu'il prévoyait une provision pour dépréciation de plusieurs milliards de dollars liée à une acquisition dans le nucléaire datant de 2015, qui pourrait se traduire à présent par une charge dépassant les quatre milliards de dollars (3,7 milliards d'euros). Dans la mesure où Toshiba est placé sous surveillance par la Bourse de Tokyo, il lui est impossible de procéder à une levée de fonds sur le marché.
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